Le Bon Mot est une entreprise créée par Karen Valkenaars.

Pourquoi le français ?

« C’est simple : je trouve que le français est une très belle langue. Elle sonne bien, a une élégance particulière. J’associe cette langue à quantité de choses. Le français est pour moi synonyme de joie de vivre, de passion, de principes, d’Histoire, de soleil, d’art de vivre (prendre son temps), d’ouverture d’esprit…

Le français, pour moi, c’est aussi la ville de Lyon, où j’ai vécu quelque temps dans le cadre de mes études de communication d’entreprise (section de langue française) à l’université Radboud de Nimègue (est des Pays-Bas) ».

Pourquoi la traduction ?

« Avant de démarrer mes activités de traductrice, j’ai notamment travaillé auprès du service financier du ministère de la Justice à La Haye. C’est là que je me suis rendue compte que rien ne me plaisait davantage que d’écrire des textes, de les corriger et de les améliorer. J’avais envie de cultiver plus largement mes talents linguistiques et je souhaitais aussi voir mon travail produire des résultats concrets.

La formation en traduction français-néerlandais que j’ai alors suivie s’est révélée correspondre totalement à mes attentes. Parallèlement à celle-ci, j’ai travaillé auprès de la société Van Ameyde Nederland où, en tant que gestionnaire des sinistres étrangers, j’ai entretenu des contacts avec les assureurs français. En 2010, je me suis lancée comme traductrice assermentée indépendante.

Mon expérience au sein de l’administration publique et du monde de l’entreprise néerlandais me permet de toujours trouver le ton juste. Il arrive que le texte français ait un énoncé clair et explicite, que l’on saisisse instantanément sa portée, mais que sa traduction en néerlandais requière une certaine réflexion. Un peu comme un puzzle dont les pièces doivent s’assembler de façon harmonieuse. Passionnant ! »

Uniquement du français vers le néerlandais

« Vous les avez forcément un jour rencontrées, ces phrases biscornues où certains mots ne semblent pas être à la bonne place.

Traducteur en cosmétiques du français vers le néerlandais

C’est la raison pour laquelle je ne traduis que du français vers le néerlandais, ma langue maternelle. Jamais en sens inverse. Je souscris entièrement au principe du locuteur natif. En vertu de ce principe, un traducteur ne maîtrisera jamais une langue étrangère aussi bien que sa langue maternelle. Même dans l’éventualité où il serait en possession d’un diplôme de traduction lui permettant de travailler dans les deux sens ».